Vendre son entreprise est un véritable exercice d'équilibre, bien plus qu'une simple question de prix.
Pour capturer toute la valeur et éviter les pièges, trois piliers doivent rester au premier plan tout au long du processus : (1) assurer la pérennité de l'entreprise, (2) obtenir le meilleur prix et (3) maximiser les probabilités de la clôture de la transaction (closing).
Un courtier d'entreprise expérimenté garde ces trois piliers au centre de ses préoccupations.
Il veille à les maintenir parfaitement alignés tout au long du processus.
Son travail est précisément de protéger l'entreprise, le patrimoine du vendeur et la fluidité du processus.
Pilier 1 – Assurer la pérennité de l’entreprise
Pour un entrepreneur, la pérennité de son entreprise signifie qu'elle continue à opérer.
Elle continue à servir ses clients et à prendre soin de ses employés, même après son départ.
Pour y parvenir, il faut que les employés en place demeurent dans l'organisation tout au long du processus de vente.
L'acheteur compte sur leurs compétences, leurs connaissances et leur expérience pour poursuivre les opérations.
Comment y arriver tout en cherchant le bon acheteur ?
Un courtier, d'abord et avant tout, qualifie les acheteurs potentiels sans même mentionner votre entreprise.
Par la suite, il présente votre entreprise aux acheteurs ciblés tout en sécurisant la confidentialité grâce à des ententes de non‑divulgation strictes et à un plan de communication minimaliste.
Seules les personnes nécessaires ont accès aux informations sensibles.
Vos employés restent ainsi concentrés et votre entreprise continue de performer.
L'évaluation comme camp de base pour la vente de votre entreprise
L'évaluation de la juste valeur marchande vous permet de réduire votre charge fiscale, d'optimiser la valeur de votre entreprise et de mieux planifier la période suivant la transaction.
OBTENEZ VOTRE ÉVALUATION GRATUITE →Pilier 2 – Obtenir le meilleur prix
Obtenir le « meilleur prix » ne se résume pas au chiffre inscrit dans la lettre d'intention.
Le montant qui se retrouve réellement dans vos poches dépend de quatre variables :
- La structure de la transaction (exonération, gain en capital, dividende ou paiement différé).
- Le prix de vente annoncé.
- Le déboursé (versement comptant, balance de vente, earn‑outs).
- Le fonds de roulement (saisonnalité, encaisse, inventaire).
Comment y arriver tout en maximisant le prix obtenu ?
Un courtier débute par une évaluation solide servant à fixer des attentes réalistes.
Il conçoit une présentation claire et un narratif qui permet au vendeur d'être en position de force.
Puis il fait pré‑approuver une structure de financement limitant les obstacles et les délais.
En prouvant chiffres à l'appui que l'acheteur conserve un bon rendement, il justifie votre prix.
Il met la concurrence en jeu pour obtenir le meilleur équilibre entre montant, termes et certitude de clôture.
Pilier 3 – Maximiser les probabilités de clôture
Un accord n'a de valeur que s'il se signe.
Maximiser les probabilités de clôture, c'est transformer une lettre d'intention en transaction réalisée.
Pour le vendeur, le pire scénario consiste en des demandes d'ajustements de dernière minute par l'acheteur.
Imaginez devoir faire des concessions à la dernière minute pour sauver la transaction, ou pire encore, une transaction avortée vous forçant à retourner au marché en position de faiblesse.
Comment augmenter les chances de clôture ?
En travaillant avec un courtier rémunéré uniquement lorsque la transaction se clôt, vous avez l'assurance que chaque détail sera adressé rapidement.
Contrairement aux autres professionnels payés à l'heure, un courtier a intérêt à résoudre le plus rapidement possible tous les obstacles potentiels à la clôture de la transaction.
Ce mode de rémunération fait de votre courtier un véritable allié, dont les intérêts sont pleinement alignés aux vôtres.
À retenir : Gardez toujours les trois piliers en tête : pérennité, meilleur prix, et clôture assurée.
Un courtier expérimenté vous aidera à orchestrer une vente gagnante à chaque étape.